Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

elle et la vieille dame

linna

Maître Poète
#1
Elle et la vieille dame

Elles sont si frêles
A un âge certains
Une ossatures vieilli
Devenu cartilagineux
Un visage ridée qui recouvre
bien souvent leur chignons
sous leur tignasse marqué
De tendresse ,àleur gentillesse.

Elles porte en elle
Les souvenirs mêlant
Leur amours à leur jeunesse
Éternelle qu'elles aime raconter
Leur vécu comme des trésors enfouis
Au fond de leur mémoire
Un album déployer comme
Un beau roman, une belle histoire

Parfois sur l'étagère
Elles s' accaparant de photos
Anciennes en contemplant la nostagie
De ses elles bien esseulée
Perdue dans leur pensées
Les familles s' occupant plus d'elles
Pas de nouvelles rien
Un silence radio des plus tristes
Envahissent leurs journées
Les pièces si vides , le nez aux carreaux
Histoire de voir un pèlerins
Des oiseaux, un peu de bruit
Le boulanger du coin
Le facteur entre un passage entre deux porte
Faisant sa distribution, et pour lecture le journal
Comme nouvelles fraîches et la tv pour distraction.

Puis le temps est comme un soldat
Entre le tic tac qui déambule
Un jour venu, des étrangers
Venant a leur chevet malgré
Le restant de lucidité, et de volonté
Quand le corps d'un souffle fatiguée
Ne pouvant plus arquées
Et le couperet finalement est tomber
La lucidité n, etant plus la
Il faut se résigné et faire face
Se dire je n, est plus de choix
C'est sa ou rien.

Alors la encore
Parmi se vecu cette nouvelle
Tête qui m, est pas des plus familière
Venant envahir mon espaces
Parmi mes vieux meubles anciens
Peu être la chaise en rotin
Vers la table en chêne sculpté
Plus d'époque mais parfois
Un vieux napperon au crochet
Venant l'agrémenter.

De ses elles étrangères
Une confiance final s' installant
Entre les petits papotages
Quotidien entre le chiffon
A la toillette, et au changement
De literie, une tasse de café
Des conversations échangé
La journée est vite défilé.

Elles dame de courage
De discretion
Plus qu, un sacerdoce
Veillant sur elles
Quand elle si vieilles
N'ayant plus la force
A supporter ronger par la douleur
Leur coeurs faible et fatigué
Et la voix des plus murmurant
Jusqu'à ne plus presque parlé
Prête à l'accompagner jusqu a son dernier soupir
Vers se voyage sans retour où les doux embrums
Son si légers, si apaisant comme lumière s' eteignant
Au petit matin vers se monde sans fins.

Linna